« Inwood Hill Park | Accueil | »
19 janvier 2004 - New York 2002New York au mois d'août
Autres notes sur ce voyage à New York
New York est sublime à l'automne, lorsque l'été indien enflamme les feuillages de Central Park. La cité et la nature trouvent à ce moment de l'année un équilibre miraculeux. Le promeneur ressent alors un sentiment de communion avec le monde entier. Du moins, c'est ce que l'on dit, car moi, j'y suis allé au mois d'août, en pleine canicule.
Chaque soir la télévision répétait les mêmes bulletins météo et faisait les mêmes reportages sur des citadins à la recherche d'un peu de fraîcheur. Time Out, le très branché magazine des sorties à New York, proposait un reportage sur les endroits où on peut (ou ne peut pas) se promener nu dans la ville. On n'était guère rassuré en lisant dans le New Yorker le récit passionnant d'une vague de chaleur à Chicago, il y a quelques années : l'insuffisance des normes de climatiseurs, qui n'étaient pas prévues pour de telles chaleurs, avait causé la mort de nombreuses personnes trop âgées ou trop pauvres.
Dehors il faisait 30 degrés, parfois 32 ou 34. En France ce n'aurait pas été une température excessive, mais à New York l'humidité rendait la chaleur particulièrement pesante. Elle s'accompagnait d'une odeur qui faisait penser à une poubelle déversée sur un goudron surchauffé. La nuit se passait à hésiter entre l'air trop chaud et la climatisation trop bruyante. Au cours de la journée, on finissait par se réfugier dans les magasins.
La pluie elle-même n'y pouvait rien. En France, une bonne averse nettoie l'air, fait baisser la température et laisse dans l'atmosphère un certain sentiment d'euphorie. A New York, après des jours et des jours de chaleur et de soleil, une violente averse m'a agréablement surpris en sortant d'un restaurant de Times Square, et j'ai cru que c'en était fini de ce temps insupportable. Je me trompais : il faisait toujours aussi chaud et l'humidité avait encore augmenté.
Autres notes sur ce voyage à New York
Publié par thbz le 19 janvier 2004
18 commentaire(s)
1. Par Nounouf (28 juin 2009) :
Bonjour,
Je vais visiter NYC en Aout également. Combien de jours minimum faut-il pour faire les attractions principales ? (le but étant de rester le moins longtemps possible ds la chaleur décrite)
Merci
2. Par thbz (29 juin 2009) :
Difficile à dire... On peut rester un jour à Manhattan et voir Central Park, Times Square et l'Empire State Building. On peut rester trois jours et voir aussi, rapidement, les principaux quartiers de l'île ainsi que deux musées. J'y suis resté une dizaine de jours, ce qui m'a permis non seulement de voir, mais de revoir les endroits les plus connus et d'aller dans des coins ignorés des touristes étrangers, tels Inwood Park et Staten Island.
Mais j'aurais bien aimé y passer deux ou trois ans...
3. Par (10 mai 2013) :
Bonjour , a new york on parle de canicule a partire de 37°C sur 3 jours minimum et vous avez de la chance de pas être parti en période de canicule car 34°C a new york sa rien d'incroyable moi j'ai eut 42°C en arrivant a l’aéroport newark liberty.New york a connu plusieurs jour depuis sont existence ou le mercure a atteint ou depassé 40°C surtout dans les centre ville ou les batiment , les voitures etc .. surchauffe la temperature de l'air.
Pour comparé avec une ville de france new york est bien plus chaude que Montpelier , je suis un passioné de climatologe.
4. Par thbz (13 mai 2013) :
Bonjour,
Je veux bien reconnaître que le terme « canicule » était un peu exagéré. Disons que les températures était au-dessus de la moyenne et que ce climat humide subtropical (comme le qualifie Wikipédia) était assez pénible à la longue.
5. Par Sylvaine (12 octobre 2015) :
Je ne comprend pas pourquoi il est dit que en France cela aurait était une chaleur supportable. cela dépend où l'on vit.
Je ne vois pas en quoi l'humidité rendrait la chaleur accablante.
La chaleur humide existe partout.La plupart des grandes villes de France étant située au bord d'un fleuve ou au bord de la mer.
Exemple : PARIS : LA SEINE.
MARSEILLE :La mer méditerranée
LYON : Le PHONE
BORDEAUX : La GARONNE,et de plus près de l'ATLANTIQUE.
NANTES : LA LOIRE,près de l'atlantique.
D'autre part il y a des remontées chaude et humide partout comme le vent de SUD OUEST, en provenance de l'ATLANTIQUE 0U SUD EST en provenance de la méditéranée.
6. Par thbz (16 octobre 2015) :
Bonjour,
Lors de ce séjour à New York, la chaleur m'a semblé particulièrement étouffante, sensation que je n'ai jamais ressentie en France. New York a un climat continental humide, alors que la chaleur est plus sèche en France, même au bord de la mer.
Et oui, la moiteur rend la chaleur bien plus difficile à supporter : à température égale, on supporte bien plus facilement un sauna qu'un hammam...
7. Par Sylvaine (23 octobre 2015) :
La chaleur étouffante existe partout qu'elle soit sèche ou humide.
Je ne suis jamais allé à NEW YORK,mais par contre j'ai déjà ressentie une chaleur étouffante lorsque le soleil tape fort ou lors d'un temps orageux et qu'il n'y a a pas de vent.
D'autre part la chaleur humide est un phénomène urbain. Beaucoup de ville affiche des taux d'humidité très élevés.Il n'y donc pas de différence fondamentale avec NEW YORK.
Peut être ne les avez vous pas toutes testées.
RENNE par exemple affiche un taux d'humidité bien Supérieure à NEW YORK et de plus a un climat semi continental.
D'autre part les villes ayant un climat océanique dégradé ont en réalité un climat continental humide avec un vent maritime par l'Ouest et un vent de terre par l'EST.Exemple PARIS, NANTES, Bordeaux,CAEN.
Autres villes Lyon au bord du Rhône, remontée chaudes et humide par la méditerranée.
Je ne suis pourtant jamais allée aux ETATS UNIS.
8. Par thbz (24 octobre 2015) :
Que Paris et Bordeaux aient un climat continental humide, j'avoue que cela m'avait échappé. Le changement climatique fait décidément des merveilles...
Quoi qu'il en soit, je ne suis pas climatologue et je ne fais dans cet article que raconter, sans aucune prétention scientifique, ce que j'ai ressenti pendant les quelques jours que j'ai passés à New York.
9. Par Sylvaine (24 octobre 2015) :
Ayant comparé les taux d'humidité DE PARIS,BORDEAUX, NANTES à ceux de NEW YORK je n'ai pas constaté de différence.Les taux d’hydromètre sont les mêmes.
Il y hélas plusieurs formes de chaleur humide et ces climats situés à l'intérieur des terres sont loin d’été sec.
Exemple : TEMPS ENSOLEILLE avec un vent d'OUEST ou de SUD OUEST en provenance de l'ATLANTIQUE.
Temps couvert et chaud avec un temps lourd et orageux avec des averses.
Temps partiellement couvert laissant apparaître les rayons du soleil.
Par contre j'ai constaté que certains jour New York avait un taux d'hydrométrie très bas de l'ordre de 20 à 30% contre 60 à NANTES ou à PARIS avec pourtant une chaleur identique.
Il est possible d'avoir 90% d' humidité et un temps chaud et couvert à PARIS.
Ce qui peut faire la différence c'est que le vent y circule peut être mieux qu'à NEW YORK car les immeubles sont peut être moins serrés et moins hauts.
Un climat océanique dégradé n'existe que dans la tête des météorologues.
Il s'agit en fait de climats continentaux car situés à l'intérieur des terres mais tout de même pluvieux qu'ils ne savent pas comment nommer.
A NANTES,PARIS ou BORDEAUX il peut effectivement faire très chaud plus que sur le bord de la mer où il n'y a pas de gros immeubles.
Il peut aussi il y avoir des tempêtes de neige en hivers est bien dans le cadre d'un climat continental humide et non un climat océanique.
10. Par Sylvaine (26 octobre 2015) :
Aynat comparé les températures cette anée de NEW YORK à celle des différentes villes de FRANCE il n’apparaît pas que NEW YORK soit plus chaude que MONTPELLIER,ni même que PARIS.
A titre d’exemple avec la vague de canicule en FRANCE il a fait très chaud à PARIS, LYON, CLERMONT-FERRAND, MONTPELLIER etc.On a dépassé les 40 degrés à PARIS.
Ce ne fut pas le cas à NEW YORK ou il faisait beaucoup moins chaud.
Elle n'est donc pas plus chaude que MONTPELLIER.
11. Par Sylvaine (23 novembre 2015) :
Dans quelle ville française considérez vous que la chaleur est moins étouffante qu'à NEW YORK par une température de 30 à 35 de grès voir plus?
Etes vous sur que la chaleur est vraiment supportable et non étouffante dans les grosses villes françaises?
Si oui lesquelles? Pouvez vous m'en citer quelques unes que vous avez essayées?
12. Par Sylvaine (01 janvier 2016) :
En l'absence de vent une chaleur de 32 à 34 degrés est de toute façon insupportable et étouffante surtout en centre ville.
Tout le monde dit que PARIS à une chaleur étouffante lorsque le vent ne souffle pas.
13. Par Sylvaine (01 janvier 2016) :
Une chaleur humide avec un ciel dégagé est peu probable Sauf en présence d'un vent maritime.Sinon le ciel aurait été couvert de nuages ou de brouillard.
Le vent soufflait t'il à NEW YORK? Si oui dans quel sens?
Quel était le taux d'humidité?
14. Par thbz (02 janvier 2016) :
Votre persévérance est admirable... Ma seule réponse est que je ne sais pas...
15. Par Sylvaine (17 janvier 2016) :
C'était probablement une chaleur sèche qui a tournée en chaleur humide car le temps était ensoleillé et il s'est couvert ensuite pour donner de la pluie.
En France toutes les villes sont étouffantes en présence d'un soleil qui tape fort et en l'absence de vent.
C'est un phénomène hurbain que l'on ne retrouve peut être pas à la campagne.
Mais peut être vivez vous à la campagne.
16. Par Sylvaine (20 juillet 2016) :
Après consultation d'un site PARIS METEO com doté d'une liste déroulante et indiquant l'humidex des différéntes villes j'ai constaté à quel point la moiteur était un phénomène urbain touchant beaucoup de ville au bord de l'eau tel que PARIS,NANTES?BBORDEAUX,NICE ETC.
Les humidex sont en effet bien plus important que la température relevée.
Comparer les taux d'hydrométrie avec ceux de NEW YORK à température égele et vous ne verrez pas de différence.
17. Par Sylvaine (06 septembre 2016) :
Avez vous vraiment essayé les différentes villes de FRANCE un jour ou le temps est lourd et ou il n'y a pas de vent?
Si oui, quelles villes connaissez vous?
Je suis désolé mais la sensation de moiteur me semble fréquente en zone urbaine.
18. Par Sylvaine (25 septembre 2017) :
La chaleur sèche est désagréable car cela ressemble à un sèche cheveux.Exemple le SIROCO dans le midi de la FRANCE cela brûle.
Si je veux un fort taux d'humidité quelle ville française avez vous à me proposer?